What I listen at lately:

Friday, March 31, 2006

Si quelqu'un aime une fleur (...) ça suffit pour qu'il soit heureux quand il les regarde.

60 ans de petit prince.
Pasen un buen fin de semana. : )



Le cinquième jour, toujours grâce au mouton, ce secret de la vie du petit prince me fut révélé. Il me demanda avec brusquerie, sans préambule, comme le fruit d'un problème longtemps médité en silence:

- Un mouton, s'il mange les arbustes, il mange aussi les fleurs ?
- Un mouton mange tout ce qu'il rencontre.
- Même les fleurs qui ont des épines ?
- Oui. Même les fleurs qui ont des épines.
- Alors les épines, à quoi servent-elles ?

Je ne le savais pas. J'étais alors très occupé à essayer de dévisser un boulon trop serré de mon moteur. J'étais très soucieux car ma panne commençait de m'apparaître comme très grave, et l'eau à boire qui s'épuisait me faisait craindre le pire.

- Les épines, à quoi servent-elles ?

Le petit prince ne renonçait jamais à une question, une fois qu'il l'avait posée. J'étais irrité par mon boulon et je répondis n'importe quoi:

- Les épines, ça ne sert à rien, c'est de la pure méchanceté de la part des fleurs !
- Oh!

Mais après un silence il me lança, avec une sorte de rancune:

- Je ne te crois pas ! Les fleurs sont faibles. Elles sont naïves. Elles se rassurent comme elles peuvent. Elles se croient terribles avec leurs épines...

Je ne répondis rien. A cet instant-là je me disais: "Si ce boulon résiste encore, je le ferai sauter d'un coup de marteau." Le petit prince dérangea de nouveau mes réflexions:

- Et tu crois, toi, que les fleurs...
- Mais non ! Mais non ! Je ne crois rien ! J'ai répondu n'importe quoi. Je m'occupe, moi, de choses sérieuses !

Il me regarda stupéfiait.

- De choses sérieuses !

Il me voyait, mon marteau à la main, et les doigts noirs de cambouis, penché sur un objet qui lui semblait très laid.

- Tu parles comme les grandes personnes !

Ça me fit un peu honte. Mais, impitoyable, il ajouta:

- Tu confonds tout... tu mélanges tout !

Il était vraiment très irrité. Il secouait au vent des cheveux tout dorés:

- Je connais une planète où il y a un Monsieur cramoisi. Il n'a jamais respiré une fleur. Il n'a jamais regardé une étoile. Il n'a jamais aimé personne. Il n'a jamais rien fait d'autre que des additions. Et toute la journée il répète comme toi: "Je suis un homme sérieux ! Je suis un homme sérieux !" et ça le fait gonfler d'orgueil. Mais ce n'est pas un homme, c'est un champignon !
- Un quoi ?
- Un champignon !

Le petit prince était maintenant tout pâle de colère.

- Il y a des millions d'années que les fleurs fabriquent des épines. Il y a des millions d'années que les moutons mangent quand même les fleurs. Et ce n'est pas sérieux de chercher à comprendre pourquoi elles se donnent tant de mal pour se fabriquer des épines qui ne servent jamais à rien ? Ce n'est pas important la guerre des moutons et des fleurs ? Ce n'est pas plus sérieux et plus important que les additions d'un gros Monsieur rouge ? Et si je connais, moi, une fleur unique au monde, qui n'existe nulle part, sauf dans ma planète, et qu'un petit mouton peut anéantir d'un seul coup, comme ça, un matin, sans se rendre compte de ce qu'il fait, ce n'est pas important ça !

Il rougit, puis reprit:

- Si quelqu'un aime une fleur qui n'existe qu'à un exemplaire dans les millions et les millions d'étoiles, ça suffit pour qu'il soit heureux quand il les regarde. Il se dit: "Ma fleur est là quelque part..." Mais si le mouton mange la fleur, c'est pour lui comme si, brusquement, toutes les étoiles s'éteignaient ! Et ce n'est pas important ça !

Il ne put rien dire de plus. Il éclata brusquement en sanglots. La nuit était tombée. J'avais lâché mes outils. Je me moquais bien de mon marteau, de mon boulon, de la soif et de la mort. Il y avait, sur une étoile, une planète, la mienne, la Terre, un petit prince à consoler ! Je le pris dans les bras. Je le berçai. Je lui disais: "La fleur que tu aimes n'est pas en danger... Je lui dessinerai une muselière, à ton mouton... Je te dessinerai une armure pour ta fleur... Je..." Je ne savais pas trop quoi dire. Je me sentais très maladroit. Je ne savais comment l'atteindre, où le rejoindre... C'est tellement mystérieux, le pays des larmes.

Thursday, March 30, 2006

El gran maestro e investigador Johann Sebastian Mastropiero...

"Los libros, yo suelo comprarlos ya rellenos; es que los que no están escritos me aburren, más bien son cuadernos. Y sabe qué me ocurre cuando leo cuadernos? leo el primer reglón... en blanco; el segundo reglón... en blanco; el tercer reglón... en blanco... y como soy una persona muy inteligente, ¿sabe?, para entonces ya me conozco el final!".


Ayer estuve en Donosti, en el Kursaal, viendo Les Luthiers. Ciudad increíble Donosti, y más con los 18º que hacía a las 00:00 cuando salimos de allá. Como decía Jaúregui (creo): "lo grande de Donosti es que puedes salir de trabajar y estar corriendo por la concha en 15'; que lo de correr lo puedes hacer en cualquier ciudad, pero lo de la concha sólo en Donosti". (que ya... no es Ipanema ;) pero no está mal!).

Sobre Les Luthiers... no comment, me reí infinito. XD

Sobre el Kursaal (auditorio más polémico -aún- que el baluarte)... por dentro no está mal! Es un cubo que desde mi punto de vista invade totalmente la estética del antiguo "seafront" de Gros pero... eso, por dentro está bien, es funcional, es lindo... : )

Now spring is here... espero que lo haremos más veces!, I needed sooooo much the taste of sea!! :)

Wednesday, March 29, 2006

Un año más....



... pinchemos lo que podamos en una semana! (aprovechando la "Semana del Pincho" de la asociación de hostelería). Que, oigan, no será especialmente barato (3.7€ x 2 pinchos), pero por lo menos hay un ambientazo por la calle, y con la primavera en puertas se respira optimismo en las aceras! : )

Y por ir haciendo inventario de los pinchos probados so far...


17.- Cafet. José Luis
1.-Anchoas rellenas de Piquillo de Lodosa e Idiazábal sobre ensalada al agraz verjus
2.-Corona de pintada con hongos en cama de patata y reineta

19.- Bar Letyana
1.-Bouquet de verduritas con salmón ahumado, nueces y aguacate en su vinagreta de centollo al aceto de cava
2.-Armoniosa textura de manitas de cerdo rellenas de trufa y mi-cuit con foie, higo almarraschino, salsa de setas y crujiente de cebolla

35.- Bar Gaucho
1.-Xavier 2006: Deconstrucción, receta de su época.
2.-Texturas del mar con infusión de sus jugos

32.- Chez Evaristo
1.-Mousse de escalibada de verdura de Navarra con salsa de anchoa de Llançà
2.-Nuestro escudo rojillo de cabracho con salsa alangostada

47.- Bar Casa Otano
1.-Saquito de bacalao con salsa romesku
2.-Tako de presa de cerdo ibérico con salsa chutney.

Y, por supuesto, nos falta un clásico primaveral, ir a ver los montes, oír música (y hasta escribir) al...

29.-Mesón el Caballo Blanco
1.-Lasagna de erizo de mar con salsa de azafrán y arroz salvaje
2.-Salmón marinado a la sal con verduritas escabechadas

(que además, por el título sus pinchos prometen!) : )


Portal de Zumalacarregui desde el baluarte del caballo blanco.

Tuesday, March 28, 2006

I wanna be...


James Bond.

Travelling all around the world.

Shooting at bad guys.

And drinking dry martinis, mixed not shaked.

But I swear I will never dress like him! :_s

(explicación-> otro de los paradigmas del coolismo bienpensante -con Steve McQueen lo que pasa es que en su caso era menos "bienpensante" :D. Me he puesto a buscar en internet alguna foto suya para justificar mi post de hoy, todo nostálgico, de cuando tuvimos por primera vez vidio en casa y nos alquilábamos todas las míticas películas antiguas de la saga 007: contra el dr. no <- my fav! ... etc.... y miren cómo ha salido vestido!! Es que me partía de risa!! Si parece el portero de algún turbio lugar de chueca! XD)

Monday, March 27, 2006

Qué estoy haciendo con mi vida? :_?

... si este hombre sólo tiene 24 años? (y acaba de sacar un nuevo disco que no está nada mal) :?

Espero que tuvieran un gran fin de semana, mine composed mainly by sidrería, meetin' old friends of mine, rest & discoverin' new clubs in Pamplona that automatically became my favourites (as well as a lot of thinking and rethinking... ) was not bad at all.



and we live on borrowed time,
but this headshot's pretty good.
i've been scheming for too long,
i was starstruck by your mom.

we fall in love by accident,
a heavenly coincidence.
no matter what you think is true.
let me introduce you to some,
friends of mine.
oh, friends of mine.
oh, friends of mine.
oh, friends of mine.

and we brake for passing cars,
in the pistol ripping chase.
i regret the drugs you lost,
so i skipped our second date.

we fall in love by accident,
a heavenly coincidence.
no matter what you think is true.
let me introduce you to some,
friends of mine.
oh, friends of mine.
oh, friends of mine.
oh, friends of mine.

we fall in love by accident,
a heavenly coincidence.
no matter what you think is true.
let me introduce you to.

can't figure out this place.
guess someone hates my guts.
i handed him the sign.
oh, friends of mine.

Friday, March 24, 2006

Alá!...



Yo sabía que Juanete se había pirado a Berlín... y sabía que quería darle una reorientación a su carrera... pero esto de cambiarse de nombre y fundar un circo! Ô_Ô Flipante!

Qué diría Encarnita de todo esto? De este mítico circo Roger Lanzaz? XD

Mucha suerte por allá, Juan! : )

(a los que no lo entiendan... perdonen el post idiota de hoy, es que me pareció entrañable encontrar este circo con el apellido de un amigo :D)

PASEN USTEDES UN BUEN FIN DE SEMANA!

Thursday, March 23, 2006

I supposse...


Que si me hubiera levantado una mañana de octubre de 1989 en Berlín oriental, nunca habría pensado que al día siguiente el mundo que conocía había desaparecido. Ni quizá habría creído vivir momentos históricos la noche en que Yelstin se subió a un carro en la plaza roja, o si hubiera votado en el '77 o estado en sanfermines del '79 en la plaza de toros. (disculpen si bailan las fechas, no las he comprobado).

Supongo que es lo inevitable de los momentos históricos, su influencia tarda tanto en llegar hasta nosotros, seres normales, que no los vivimos como tales, sino agobiados por las minúsculas cosas del día a día.

Y no sé si lo de ayer fue o no historia, ni dónde parará un eventual "proceso de paz" (el miedo de los navarros es que acabará con una anexión de la comunidad foral al país vasco) o si será definitivo. Espero que sí. Pero mientras, me quedo con la alegría y el optimismo de ayer, aunque en el futuro haya nubes. Y supongo, que mis pequeños problemas cotidianos, seguirán siendo los que más me importen, pero me comprometo (not ever being socialist) que si la forma de llevar las cosas de ZP (aun cuando no me gusten muchas) acaba con ETA, en 2008 le votaré.

Pakea, mesedez.

Wednesday, March 22, 2006

ETA declara un alto el fuego permanente

ETA declara un alto el fuego permanente
La banda terrorista afirma en un comunicado que su objetivo es "impulsar el proceso democrático en Euskal Herria para construir un nuevo marco en el que sean reconocidos los derechos que como pueblo"


No es broma. Ha salido hoy a las 13:20.
Significa que es el fin de ETA?
Que tendrán que negociar?
Que conoceremos la paz, que no hemos conocido desde que somos críos?

I would love to.

No tengo muchas palabras ni tiempo para ponerlas, pero es un día histórico si es el fin de ETA de veras. Aunque supongo que tendremos tiempo para hablar de esto.

El otro punto de vista: Gara

Tuesday, March 21, 2006

La guerrilla en Vall d'Aran



Cuentan las historias que en el año '44 o así, a punto de acabar la guerra mundial y eufóricos por la victoria contra un enemigo que al principio había parecido imbatible, hubo una invasión de guerrilleros republicanos primero por Navarra y luego en el Valle de Arán; que tendrían que conocer para comprender como en realidad es un dedo de dios hincado en los pirineos rumbo a francia.

Este fin de semana, por allá, me he sentido muy romántico en el sentido larriano del término (asaltado por una imaginación portentosa y cierto amor a los "perdedores" o personajes marginales de la historia); y me creí capaz de imaginar dónde pasarían o cómo sería la vida allá, en esos meses del '44 en que algunos hombres volvieron a su tierra a "liberarla"; y cómo intentarían defenderla contra la marea implacable de todo un estado enemigo (que aunque detrás de inmensas montanyas seguía estando allá) haciendo guardia con un capote en lo alto de los puertos cubiertos de nieve.

Romanticismo, que, por supuesto, ha desaparecido al leer este texto y comprender mejor la historia. Y cómo no se oye hablar mucho de esto, y tampoco se sabe demasiado, y como en el fondo el romanticismo melancólico en realidad no debería ser ensalzado... : ) aquí lo tienen:



LA INVASIÓN DEL VALLE DE ARAN.
Liberada la mayor parte de Francia, en el verano del 44,la progresiva retirada de los alemanes produjo un clima de entusiasmo y euforia entre los guerrilleros y los refugiados, que creían que los días del franquismo estaban contados.
Fue entonces cuando la UNE (Unión Nacional Española) plataforma política del PCE, comienza a preparar la operación "Reconquista de España" que consistía en introducir desde el Pirineo vasco hasta el Pirineo Catalán ocho o diez mil guerrilleros. La zona de penetración más importante tenía que ser el Valle De Arán.
De junio a septiembre el Estado mayor de la agrupación Guerrillera, envía varios grupos al otro lado del Pirineo con el fin de explorar el terreno y averiguar si el pueblo estaba dispuesto a secundar el alzamiento armado contra el régimen franquista.
Los informes enviados por las avanzadillas guerrilleras no daban ninguna posibilidad de éxito a la ocupación de la Valle de Aran. Igualmente, nada alteró los planes de invasión ordenadas por los dirigentes comunistas.
Influyeron en la decisión, tal vez, las palabras pronunciadas por Eisenhower, ninguna de las fuerzas aliadas en Europa, a los españoles que combatían a sus órdenes:"A pesar que el asalto final a vuestro país no se ha realizado, la hora de vuestra libertad está cerca".o quizá, más bien por las ordenes o consejos de Stalin enviados a mitad del año 1944 a Lister.
Lo cierto es que antes de empezar la invasión era ya un hecho que no podría resultar: mantener liberada una zona del estado español, proclamando la República, con un gobierno provisional presidido por Negrín, y provocar, así una intervención aliada, era más que difícil de conseguir.
Así se forma la 204 División, compuesta por 11 Brigadas, más una de reserva, formada cada una por 300 o 400 hombres. Antes se había hecho una amplia propaganda en las filas de todas las organizaciones antifranquistas en Francia. Inducidos por el entusiasmo del momento y por las ganas de contribuir a derrocar al franquismo se alistaron a parte de los comunistas, varios centenares de anarco-sindicalistas y también socialistas.
Pocos días antes de la invasión del Valle de Aran, una penetración por los valles de Navarra integrada por 2500 guerrilleros había acabado en un desastre total.
A pesar de estos antecedentes al amanecer del 19 de octubre de 1944, comandados por Vicente López Tovar, entrarán en el Valle de Aran de 1500 a 2500 guerrilleros, mientras otras Brigadas lo hacen simultáneamente por el Pallars y la Cerdanya.
La mayoría de guerrilleros iban bien armados, metralletas, Thomson o Stern, carabinas americanas Rock Oll, y fusiles ametralladoras y pistolas. Muchos llevaban bombas de mano, explosivos americanos y alemanes y "plástico", entonces desconocido por el ejército español. Los víveres, se los habían de procurar ellos mismos.
El mismo día 19 ocuparán casi toda la totalidad del Bajo Aran.
Igualmente, el maquis izó la bandera tricolor Republicana, en todos los ayuntamientos, que ocupó, organizando mítines antifranquistas en las plazas del pueblo.
También el día 19, una vez liberados los pueblos que conducen a la frontera con Francia, por (Pont de Rei) Puente de Rey, entró una columna de camiones con más guerrilleros, cañones y material bélico pesado.
Las fuerzas ocupantes llevaban propaganda de la Unión Nacional y diferentes octavillas para ser distribuidas entre la población civil, y también dirigidas a los soldados, a los cuales nada más podían dispararles en caso de defensa propia, como mesura adoptada para decantar a los soldados a la causa guerrillera.
La actitud de los araneses salvo contadas excepciones se caracterizó por la pasividad e inhibición generalizada, tanto de cara a los maquis como a los franquistas, a población no se encontraba en condiciones ni morales ni materiales de secundar ningún alzamiento.
¿Pero, por dónde entró el maquis y qué resistencia encontró en el Valle de Artan?.
La Brigada 11, penetró por Port de Benasc, girando después hacia el Hospital de Viella, en la parte sur del Túnel, con el fin de cerrar el paso al ejército que quisiera entrar en la Valle de Aran por aquel lugar.
La Brigada 551, penetró por Port d'Era Roqueta y se dividió en tres columnas; la primera se dirigió hacía Bausén, pasando antes por Canejan donde al verlos venir la Guardia Civil huyó hacia el Bosque.
La segunda Columna se dirigió hacia Lés, ocupando Purcingles sin luchar, el batallón Honorato, hizo prisioneros a 10 guardias civiles.
La tercera Columna pasó por los pasos de Estiuera y Cuma y se dirigió hacía Bossot, donde la Guardia civil ofreció resistencia, desde su casa cuartel. El fuego entre los dos bandos duró bastante tiempo; los guardias civiles no se rindieron hasta que algunos guerrilleros lanzaron bombas de mano por las ventanas.
En Bossost, la población más importante del Bajo Aran, y lugar de origen del "General César" Juan Blazquez, segundo jefe de la agrupación de guerrilleros, murieron dos policías armados, y fueron incendiadas por los maquis muchas fichas de la mencionada Casa Cuartel.
La 410 Brigada, se introdujo por el Valle, a través del Port de Tavascan en dirección a Les Bordes. Allí, la resistencia al maquis fue muy dura ya que se encontraba la segunda compañía del Batallón "Albuera"(Franquistas).
En la madrugada empezó el tiroteo: la mayoría de la compañía, sorprendida en las casas donde vivían, se rindió al maquis, pero, una parte de la tropa, más la Guardia civil, siguió luchando. El combate se produjo en la pequeña plaza mayor del pueblo: Los guerrilleros se instalaron en el bar estanco zapatería, desde donde disparaban contra dos viviendas situadas delante mismo desde donde resistían un teniente, un sargento varios soldados y guardias civiles.
A la que un guerrillero intentó lanzar una bomba incendiaria, el sargento disparó, hiriéndolo, y la bomba que tenía en la mano cayó en el balcón de madera provocando un incendio y destrucción total de la casa. El teniente, con sus hombres logró escapar. Así y todo, fueron hechos prisioneros 80 soldados. En la encarnizada lucha, murieron 6 guerrilleros y 9 hombres más entre soldados y guardias civiles.
Mientras que el Bajo Aran se conquistaba de una manera vertiginosa, en el Alto Aran, ya no fue tan fácil. Así la 9ª Brigada, entró por Port d'Orla en dirección a Salardú.
Ocuparon Bagergue, instalando fusiles ametralladores en el campanario, donde estaba el estado mayor, mientras uno de los batallones, se instalaba en unos turones, desde donde se dominaba la carretera Tremp-Viella.
Los demás componentes de la Brigada atacaron Salardú. Sin poder entrar, a pesar de hacer uso de morteros y bazocas. El combate, que se prolongó durante horas, causó la destrucción de unas casas de la zona alta. Con todo, los guerrilleros no pudieron llegar hasta Salardú.
Por la tarde, por el Port de la Bonaigua, llegaron los primeros refuerzos del ejército, el 5ª Batallón de Cazadores de Montaña "Barcelona" y también la Legión y Regulares. El maquis tuvo que retroceder.
Si el asalto guerrillero al Alto Aran hubiera triunfado, habría permitido cortar la retirada al general Moscardó y al resto de las tropas del Valle, impidiendo la llegada de refuerzos.
También se luchó en Arrás, donde se registraron combates entre el maquis y la Guardia Civil. En Geusac hubo enfrentamientos el 27 de octubre con 22 bajas por parte del ejército.
El Port de la Bonaigua no pudo ser ocupado por el maquis. La capital Viella, fue hostilizada por las fuerzas guerrilleras des de Vilac (Medio Aran) y Pla de Vias. Pero, López Tovar no dio la orden de atacar Viella porque la ciudad había estado fortificada por la guardia civil, Batallones y Compañías del ejército. El General Moscardó había instalado su plana mayor en el Hotel Internacional.
Otra razón para no atacar (Viella) según López Tovar, fue porqué temía un ataque por la retaguardia que les habría cortado la salida hacia Francia, sin posibilidades de escapatoria.
Con este peligro y la presión constante de divisiones y batallones del ejército, compañías de policía armada y guardia civil, que sumaban más de 30.000 hombres López Tovar ordenó la retirada, antes de que no fuera demasiado tarde, en contra de las órdenes recibidas del Estado Mayor de Unión Nacional con el fin de salvar las vidas de sus hombres. Así los guerrilleros entraron en Francia por Pont de Rei, con 300 soldados y 30 guardias civiles hechos prisioneros, que fueron llevados hasta el Cuartel General de la agrupación Guerrillera en Toulouse, para ser dejados en libertad poco tiempo después.
El Valle de Aran -menos Viella, El Port de la Bonaigua, Salardú y norte del Túnel de Viella, estuvo 11 días bajo control guerrillero, hasta el 30 de octubre en que las tropas del ejército llegaron a la frontera por el Pont de Rei.
Las consecuencias de este fracaso fueron muchas: Peleas internas y purgas dentro del PCE; pérdida del prestigio ganado por los guerrilleros españoles en Francia; ascenso de Santiago Carrillo y muerte política de Jesús Monzón, impulsor de la "Reconquista de España" reforzamiento indirecto del régimen franquista, y finalmente, un cambio de estrategia en renunciar a más invasiones y luchas frontales, para pasar a introducir grupos de guerrilleros hacia el interior, que tomaran contacto con las partidas de los maquis en el interior.
Como dato positivo cabe remarcar las escasas bajas que tuvo el maquis, debido a la ordenada retirada, mandada por López Tovar.
Entre los guerrilleros hubo 21 muertos y unos pocos heridos. En cambio, por el bando franquista hubo 34 muertos algunos heridos y 330 prisioneros.
En cambio las otras Brigadas que pasaron la frontera unos días antes o el mismo día de la invasión para introducirse más hacia abajo y proteger así la invasión del Valle de Aran, fracasaron rotundamente. Los que pudieron salvarse decidieron volverse hacia casa, porque vieron claramente, que los habían enviado al matadero.

Thursday, March 16, 2006

Cielos!!


...
Lo pensaba ayer viendo un almendro totalmente blanco: ha llegado la primavera sin avisar! :D

L'hiver a eté trôp court! Mais je m'en réjouis! :)

Adiós abrigos, wellcome beach, plans and -most of all- loooooong days!

(y feliz puente!! :D).

Wednesday, March 15, 2006

Avui, en catalá.


Avui m'assec molt català.

Així que aquest text, que normalment aniria en castellà, anirà en llengua autonòmica.

No només perquè vagi a anar aquest cap de setmana (encara que tal com és vaqueira, ha de ser més frança que espanya), ni perquè acabés l'altre dia de llegir-me el llibre de eduardo mendoza i m'encantés. Sinó perquè sempre m'assec barceloní a la primavera! És inevitable!. Així que, Diego, get ready! que a la primavera tornem! ;-)

Tuesday, March 14, 2006

Asaltado por la fiebre....

... aviaria esta que me ha cogido por banda hoy. :_( Me he encontrado esto en la pantalla:


y debo reconocer que... i <3 psicodelia.
& sometimes it's even present at daily work. : )

(which is allways conforting).

Monday, March 13, 2006

I should have known...


No sé mucho de ellos, así que debo ser un "fan de palo", de los que dicen que aman un grupo pero sólo conocen más o menos su canciones (y no todas).

Además, este post contraviene totalmente mi idea de no hablar (demasiado) de música aquí por lo menos hasta que pueda ponerles un radioblog en condiciones.

Pero, gosh!, ayer oyendo la radio volví a escuchar esta canción y constaté que, como la primera vez que la oí hace 16 años!, sigue siendo mi canción favorita de todas las que conozco!! =) (y eso es decir mucho!). Fue como reencontrarme con la chica que me gustaba en el colegio, y revivir cuando quería haber nacido en el '60 y vivir en el londres y el san francisco de los hippies. Además de entender, que las letras eran menos absurdas de lo que pensaba en su día. : )

Así que, incumpliendo autopromesas, y ya que mi pelo últimamente ha vuelto a su ser beatle... : )

I Should Have Known Better
I should have known better with a girl like you
That I would love everything that you do
And I do, hey hey, and I do

Whoa, whoa, I never realized what a kiss could be
This could only happen to me
Can't you see, can't you see

That when I tell you that I love you
You're gonna say you love me too
And when I ask you to be mine
You're gonna say you love me too

So oh, I should have realised a lot of things before
If this is love you've got to give me more
Give me more, hey hey, give me more

Whoa, whoa, I never realised what a kiss could be
This couldy only happen to me
Can't you see, can't you see

That when I tell you that I love you
You're gonna say you love me too
And when I ask you to be mine
You're gonna say you love me too
You love me too
You love me too

Saturday, March 11, 2006

El cielo de madrid

"La novela trata de todos los que; como yo, 2000 ó 3000 jovenes, llegamos a Madrid, hace 20 ó 25 años, buscando algo, intentado conquistar "el triunfo": el cielo de Madrid.
Y qué ha pasado con nosotros.
Si lo alcanzamos; o no. En qué consistía. Donde acabó ese afán de hacer algo con nuestra vida, de una manera libre, construído por nosotros.
(...)
Dicen que con la edad uno se hace conservador, tiene más certezas y duerme menos, a mí me ha pasado lo contrario; duermo más, tengo más dudas y -si es que alguna vez lo fui- soy menos conservador que nunca."




Ayer estuve en civican (para los que no lo conozcan, algo similar a "la casa encendida de madrid") escuchando a Julio Llamazares. Un escritor leonés que entre otras cosas ha escrito "El cielo de Madrid", "La lluvia amarilla", "Escenas de cine mudo" o "Luna de Lobos".

Me encantó. Supongo que porque, como dijo él mismo, vibrábamos en la misma frecuencia.

Empezó hablando sobre algo a lo que también le he dado vueltas: ¿hasta que punto es biográfica una novela? (o, un blog?). Y su opinión era la misma que hemos discutido aquí alguna vez, siempre es autobiográfica, porque el autor siempre escribe desde su experiencia personal, desde sus vivencias e historia; y eso, aunque la trama sea falsa, se percola en lo más importante de la novela: el fondo. Llegó incluso a afirmar que en una novela la historia es fruto del azar, e importa únicamente como forma de enganchar al lector. La inquietud que intenta despertar o sobre la que llamar la atención es lo auténticamente valioso, la capacidad que tenga para hacer pensar; o... hacer sentir.

También elogió el ser apátrida. Como no tiene sentido atarse a un lugar; que normalmente deja de existir en cuanto lo abandonas. Además de que la vida es tan divertida que te hace pensar en un momento que toda tu vida transcurrirá en una ciudad (pongamos Pamplona) y de pronto te mandan a hacer la mili a Cádiz, conoces a alguien allá y a los 30 años te encuentras que tu familia es andaluza. : )

Friday, March 10, 2006

Si pudieras volver a nacer...

... que elegirías ser?

Hay un genial anuncio de coches en que se hace esa pregunta. Una de mis elecciones sería ser viajero. Como decía Jim, en Jules et Jim, " je voudrais devenir curieux". : ) Car j'essaye de l'être maintenant, bien sûr.: )

Así que hoy, me apetecía subir algo diferente para cerrar la semana. Y hace tiempo que quería subir esta foto de la india.



Se trata de Agra, en la orilla de enfrente del Taj Mahal, a la entrada de otro de los monumentos de esa ciudad. Me gustaría poder explicarles cómo es Agra, la falta de alcantarillado en una ciudad de 1.000.000 de habitantes; la gente que vive en un chamizo de 10 m2 sin abandonarlo ni para dormir (a la vez es su tienda); y a la vez una de las atracciones turísticas más importantes del mundo (el Taj Mahal, que créanme, es más bonito en realidad que en cualquier foto que puedan ver)... por más que lo intentara sería imposible. :)

En la foto, se ve a una señora de las que iba con nosotros que sacó unos bolis para dárselo a alguno de los miles de niños que hay por la calle, el resultado es el agobio de la foto. Parte inevitable de ser rico en un país donde no hay tantos. Por cierto, dos minutos después vi la cosa más triste que he visto nunca, uno de esos niños, de no más de 10 años con quemaduras por todo su cuerpo.

Namasté. (saludo que en indio significa mil cosas buenas).

Disfruten su fin de semana.

Thursday, March 09, 2006

En este caso...

Descubren dos genes que predisponen al baile
La capacidad para bailar es una característica innata que se lleva en los genes, según un estudio realizado en Israel sobre el ADN de 85 bailarines y de sus padres. Sin embargo, la inclinación genética al baile no basta por si sola para convertir a una persona en un gran bailarín, ya que el esfuerzo y la dedicación siguen siendo claves, incluso para aquellos que han recibido biológicamente los genes del baile.
La fuente

... este año, vamonos al fib, a ver si tenemos o no los susodichos genes. : )




& i am serious, apúntense con nosotros! : )

Wednesday, March 08, 2006

Txoootx! :D


Recibiendo un correo así:

En 1609, el Parlamento de Bordeaux, envío a la Baja Navarra a Pierre de
Lancre, conocido inquisidor y azote de brujas, con el fin de que el demonio
vasco no traspasara la frontera de los Pirineos infectando su País.
Investigó
la brujería de las tierras al norte del Bidasoa, con la ayuda de una joven
vidente, de 17 años, llamada Morguy que lograba identificar, gracias a la
coloración de la piel, a los humanos que habían sido ungidos por el demonio, el
stigma diaboli, la marca del diablo. Marca que las brujas llevaban en lugares
<>. Gracias a este procedimiento, y en sólo 4 meses,
Morguy y Lancre lograron desenmascarar a 3000 brujos y brujas. Hombres, mujeres
y niños. Y también sacerdotes.
Lancre se refirió a que la abundancia de
hechiceros y brujas en el País Vasco, se debía a que las misiones católicas de
las Indias y del Japón, los había expulsado previamente de esas tierras y, por
razones desconocidas, se habían refugiado en el país de los vascos. Dijo también
que “muchos ingleses, escoceses y otros viajeros que vienen a cargar vinos a
esta ciudad nos han asegurado haber visto durante su viaje tropas de demonios en
forma de hombres espantosos que pasan a Francia”
Así el inquisidor, ante el
temor de que los brujos se traladaran a Francia y contaminaran su saludable
tierra, tomó una decisión traumática: de los 3000 detenidos, 600 fueron llevados
a la hoguera. Y Francia quedó libre del peligro vasco.
Y así era esto puesto
que como Lacre afirmaba, “Los vascos son malditos y pecadores, y viven alejados
de Dios. De hecho, fue la manzana la que puso a Adan en el camino de la
perdición, y es por tanto la manzana sinónimo de pecado. Y saliendo la sidra de
la manzana, y produciendo los vascos la sidra, no cabe duda de que éstos son
grandes pecadores”.

Y puesto que éste es nuestro destino, ánimo a
brujas, brujos y resto de especies extrañas que co-habitamos en esta empresa, al
Akelarre que el viernes día 24 de marzo, tendrá lugar en algún oscuro lugar de
la profunda Astigarraga todavía sin concretar.



Creo que no puedo negarme :_s.

Txotx!

Woman's realm



"Nada nos ha sido regalado.
Los derechos de los que hoy disfrutamos han sido logrados con mucho esfuerzo y empeño de muchas mujeres (y algunos hombres) a través de un duro y largo camino.
Aún hoy muchas mujeres carecen de los derechos mas elementales, a la educación, al trabajo o simplemente a mostrar su rostro en publico.
Muchas siguen pagando un alto precio por su condición de mujer.
Hoy es un día para recordar, reflexionar y reivindicar y este día tendrá sentido mientras una sola mujer esté privada de libertad a cualquiera de nuestros derechos.
"

Hoy pensaba o ponerles una noticia macabra que me ha tocado cerca o hablar de mi filia vacuna, o de madrí, o de mi cagada como cazador bookcrossero al capturar un libro que ya había leído (y no recordaba haberlo hecho hasta que lo empecé) :_s

Pero una amiga del curro me ha mandado ese texto recordándome que hoy es el día de la mujer. Y he pensado que no estaba mal ir "alla contra!" y decir que, en realidad, el día de la mujer me parece mal! ò_ó

Me explico:

Mi primer pensamiento ha sido: ¿Por qué celebrarlo?, ¡si ya no existen diferencias entre ser chico o chica!.

No las veo a nivel laboral (mis dos responsables superiores son mujeres, y en el sitio en el que trabajo existe paridad entre los jefes, así que no "vivo" la diferencia entre hombres y mujeres a nivel laboral). Aparte, por si quedaran dudas, tengo compañeras de carrera que son mucho más listas y les va mejor que a mí. Y en cuanto al hogar tengo dos hermanas con las que partimos la vagancia de hacer las cosas de la casa (es decir, huímos de ello con igual paridad) e igual nivel de estudios... en resumen, que así podría desmontar uno a uno los mitos machistas :P

Pero luego, me he puesto a pensar, y a recordar comentarios en otras casas cercanas como "y entonces le dije: tú, hija mía, no estudies ingeniería, haz mejor derecho, y que ingeniería lo haga tu hermano..."... Ô_ô

Por no hablar de otros comentarios más absurdos sobre sus novias del clásico idiota que todos acabamos conociendo.

Aún debemos ser menos iguales de lo que creía, entonces... :_s

Lo siguiente, ha sido recordar parte de lo que pensé de cuando fui a la india (o a china, o a cuba, o...) y que consiste en tomar conciencia que lo que para nosotros es la norma, en realidad, es una excepción estadística e histórica.

Piénsenlo así, somos 6.500.000.000 de personas en el mundo, de las cuales no más de 400 millones viven de forma parecida a nosotros (y de esos, ya hemos visto que no todo es tan "paritario" como parece! :_s). Además, sólo ha empezado a existir cierta igualdad chico-chica en los últimos 30 años (al menos en España). Es decir... que la "norma" estadística no es para nada esa igualdad... es más, en muchos sitios, incluso "progres" como cuba... fliparían.

Y entonces me he dado cuenta, de que, unfortunately, sí sigue siendo necesario un "dia de la mujer". Pero sobre todo, más que colgarnos medallas y decir "que buenos somos" lo que hace falta es seguir siendo iguales, predicar con el ejemplo y, no creo que valgan imposiciones, pero mantenernos firmes -frente a machistas retrógrados (sean hombres o mujeres) y ultra-feministas absurdas que piensa que igualdad en realidad significa "desprecio patente al macho" :_p.

De ese modo cada día estaremos haciendo historia y convirtiendo en "norma" lo que debería haberlo sido siempre.

Feliz día de la mujer entonces. : )

Tuesday, March 07, 2006

Conocer a alguien por Internet

Hace tiempo que me apetece hablar de este asunto, y dar mi opinión. : ) Porque como me decía el otro día un amigo "yo también pensaba que en Internet sólo podían conocerse tarados y gente con debilidades psicológicas... hasta que conocí a esta chica que es la persona con la que más pego que nunca haya encontrado" (reconozco que tanto absolutismo en la afirmación debe ser que el chico estaba enamorado, pero bueno XD). Y es que, en los dos últimos años, a mi alrededor han aparecido 3 ó 4 personas que han conocido gente así, por Internet. Unos a través de foros, otros a través de blogs y otros en páginas como las de la foto. Y he acabado por darle vueltas y pensar que, en el fondo, es normal! (y hasta bueno :).

Porque lo genial que tiene este medio es que es capaz de superar distancias (geográficas o incluso sociales) y acercar gente con aficciones y preocupaciones comunes, así que es natural que la gente que se mueve en ámbitos de intereses similares acabe por conocerse (e incluso, a veces quererse). Otro de los puntos para hablar de revolución internetera!.

De hecho si lo piensan, y aunque a otra escala no se asusten!! :_s, incluso algunos de nosotros (léase Fihnn, o María, o Sereia -aunque me parece que ya no me lee :_s) nos hemos "conocido" por Internet :). Es decir, que incluso mirando nuestra experiencia, no me sorprende que en el futuro, Internet, sea como los bares... un lugar de encuentro entre gente. Y de los lugares de encuentro... pueden surgir cosas.

Otro asunto son las "agencias" tipo Mach.com o la publicidad tan básica que hacen, apelando al más bajo vientre y vendiendo felicidad como si fuera L'elixir d'amore XD. (Vean qué anuncio me encontré hace 3 meses en Principe Pío).






Aunque supongo que cumplen su papel, y quizá se lo cuente en otro post, ya que me he enterado que un amigo, en un intento de hacerme callar con tanto hablar del amor ; )P, me ha apuntado a una de ellas. :_s

PD: No sé si fue sólo cosa mía pero ayer hubo problemas para el acceso al blog, cosas de blogger supongo :_P En particular a mí me salía un aviso diciendo que no tenía permiso para ver esta página. Ô_ô. En fin... si les pasó no se preocupen que no, esto sigue siendo as open as always. : )

Monday, March 06, 2006

Hoy, soyons frivoles

Sí.

O por lo menos en el primer post de la mañana, y obviando que viniendo al trabajo he hecho 4 ó 5 ink-polaroids irrepetibles; que me tengo que morder la lengua para no contarles los sitios cool que ví el fin de semana por Iruña; el último libro de E.Mendoza que he acabado de leer, el último grupo sueco del que me hecho fan; u otras reflesiones que aún colean del último fin de semana x Madrí (entre ellas, mi favorita, de ultra-pijo a indie-kid en 5 meses sin perder la esencia XD). Maybe otro rato.

Porque hoy, después de mirarme en el espejo, y ver a mi lado a estos caballeros sonriéndome con aire aprobador "chico, un pequeño esfuerzo más y serás uno de nosotros con pleno derecho!"




Me he visto muy lejos de mi héroe:



Qué estilo, que intelectualidad!, yo quiero ser así!

Y me he dado cuenta de que es hora de ponerse en serio. Régimen riguroso ya!. Aunque seguramente éste (Navarra) sea el lugar en la tierra más dificil para ello.

PD: Sé que llevo unos días sin actualizar, sorry! es que estoy bastante ocupado con otras cosas y falto de ideas para contar en este foro (aunque tampoco es que ustedes me animen mucho; con esa ristra de comentarios que me dejan... ;)P ) .

Thursday, March 02, 2006

Grey days



Estoy empezando a desarrollar la teoría de que demasiado trabajo -o pocas vacaciones- conduce a la grisura. : ) Porque últimamente, hablando con gente + viendo cómo estamos todos + cómo aparecen algunos sentimientos de "buf!" es lo que parece! Será que un mal rollo-gris-rutina ajquerosa ha invadido nuestras vidas? :_s

Luchemos contra él, diablos.

Por ejemplo, con propuestas como la de Pao, para este fin de semana de irnos a Málaga a oír a Sabina. =) (zur+viaje+concierto zabinero+lovely town = m'encanta, lástima que no pueda. :_P ).

O con simplemente pensar en cosas luminosas!

Cause', in the end, salir del tunel está en nuestra mano. : )



PD: En favor de Apple!

Mi Ipod palmó, y la llevé a reparar, y me dieron una nueva. : )

Wednesday, March 01, 2006

L'Elisir d'Amore


"Una furtiva lagrima
negli occhi suoi spuntò...
quelle festose giovani
invidiar sembrò...
Che più cercando io vo?
M'ama, lo vedo.
Un solo istante i palpiti
del suo bel cor sentir!..
Co' suoi sospir confondere
per poco i miei sospir!...
Cielo, si può morir;
di più non chiedo.

Eccola... Oh! qual le accresce
beltà l'amor nascente!
A far l'indifferente
si seguiti così finché non viene
ella a spiegarsi."


El sábado pasado estuve en la ópera viendo una obra increíble, L'Elisir d'Amore de Giacomo Donizeti. Me sorprendió saber después que debía ser también la ópera favorita de mi abuelo (al que me imagino en Teruel totalmente marciano escuchando a Donizetti mientras caían las bombas fuera :).

Supongo que hay mucha gente que piensa que la ópera es algo tremendamente elevado, donde hay que ir con esmoquín y corbata y llorar en cada aria, pero, créanme, personalmente me parece que eso es parte de una conspiración internacional para impedir que la gente vaya más.

A mí, personalmente, me encanta, supongo que porque en el fondo siempre he vivido como si my real life fuera un poco operístico-dramática XD (por lo menos internamente).

El argumento de esta no podía ser más sencillo. Chaval de pueblo (Nemorino) enamorado de chavala rica del mismo pueblo (Adina) que pasa de él. Llega a la aldea un charlatán que dice que tiene remedios para todo, entre ellos un filtro de amor, y el chaval (despúes de que Adina le dijera: "enamórate de otra" -equivalente al "ahí te pudras" XD) le compra uno. En realidad el Elixir es un poco de vino embotellado pero Nemorino empieza a creérselo y a tener confianza en sí mismo y a pasar de Adina. Que se mosquea y le entran celos. Así que decide que va a putear a Nemorino todo lo que pueda y... decide casarse con un sargento esa misma noche. Con lo cual, Nemorino, se hunde (el elixir actúa de un día para otro) y le pide al charlatán más y más elixir, a ver si así no tengo que esperar un día!, como no tiene pasta para pagarlo, se hace soldado y se atiborra a elixir.

+-+-+-Fin del primer acto. +-+-+-+

En el segundo acto, el resto de chicas del pueblo se enteran de que Nemorino (que era el clásico lúser-nomecomounaroscayencimasoyunpringado) de pronto es rico. Así que van todas a por él. Y están en estas cuando Adina (que seguía adelante con la boda) les ve. Y se queda flipando, y pensando en "lo que he perdido!". Nemorino, que se pispa, cuando se libra de todas, canta el aria de arriba. Y, créanme, no suelo emocionarme en la ópera pero con esa y la que luego contesta Adina, sí :_) Porque la siguiente escena es Adina, pidiéndole a Nemorino que no se vaya de soldado:

"resta nel suol natio,
non v'ha destin sì rio
che non si cangi un dì."

(quédate en tu país, no hay destino tan aciago que no cambie un día)

Tras este punto, que de nuevo fue de "gosh!!!" =S el teatro irrumpió en Bravos, aplausos y hasta silbidos!.

Pero no le dice nada más. Y Nemorino, pensando que se había equivocado otra vez, contesta: "Che! Mi lasciate?, (...) Poiché non sono amato, voglio morir soldato: non v'ha per me più pace se m'ingannò il dottor. ". (Cómo, me dejas?! Ô_Ô Puesto que no soy amado, quiero morir soldado! no hay más paz para mí si me engañó el doctor) Más dramático, imposible.

Y, of course, entonces Adina se confiesa y son felices... etc... & the life pursuit. :) (que es la canción con la que me han levantado esta mañana r3).



Honey lovin you is the greatest thing
I get to be myself and I get to sing
I get to play at being irresponsible
I come home late at night and I love your soul
I never forget you in my prayers
I never have a bad thing to report

You're my picture on the wall
You're my vision in the hall
You're the one I'm talking to
When I get in from my work
You are my girl, and you don't even know it
I am livin out the life of a poet
I am the jester in the ancient court
You're the funny little frog in my throat

My eye sight's fading, my hearing's dim
I can't get insured for the state I'm in
I'm a danger to myself I've been starting fights
At the party at the club on a Saturday night
But I don't get disapproving from my girl
She gets the all highlights wrapped in pearls..

You're my picture on the wall
You're my vision in the hall
You're the one I'm talking to
When I get in from my work
You are my girl, and you don't even know it
I am livin out the life of a poet
I am the jester in the ancient court
You're the funny little frog in my throat

I had a conversation with you at night
It's a little one sided but that's allright
I tell you in the kitchen about my day
You sit on the bed in the dark changing places
With the ghost that was there before you came
You've come to save my life again

I don't dare to touch your hand
I don't dare to think of you
In a physical way
And I don't know how you smell
You are the cover of my magazine
You're my fashion tip, a living museum
I'd pay to visit you on rainy Sundays
I'll maybe tell you all about it someday